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livre La mort ouvre sur la vie

La mort ouvre sur la vie - Nevill Randall

Traduit de l’anglais par Robert Fouques Duparc, Éditions du Club France Loisirs avec l’autorisation de IMG éditions - 2003 ISBN 978-2-7441-9253-8, 257 pages, format : 13 x 21 cm.

Le livre est une synthèse de transcriptions d’enregistrements des voix paranormales de défunts lors de séances médiumniques conduites par le célèbre et sérieux médium britannique Leslie Flint.

Ce que le livre raconte
En introduction, l’auteur, Nevill Randall, journaliste britannique, explique ce qui l’a amené à écrire ce livre. Puis, dans les différents chapitres, l’auteur remet en scène différentes séances et retranscrits le dialogue entre le médium et les défunts. Les voix furent enregistrés sur un magnétophone

Après un premier chapitre qui relate le témoignage (en 1960) d’un simple soldat britannique tué lors de la Grande Guerre, le journaliste va classer des extraits par thèmes. Il puise parmi les cinq cents comptes rendus reportés de ces enregistrements captés grâce aux questions posés aux défunts. Cela concerne, le guide pour l’autre monde, la visite à la famille, la vie quotidienne, le travail…). Le médium Flint est aidé par Woods (autre médium) et Betty Greene..

Au fil de l’écriture du livre, l’auteur, journaliste, mène ses investigations sur la vraisemblance des défunts qui déclinent leur identité, et sur la véracité des voix captés.

Lors de ses investigations, Il reporte les avis reçus sur tout ce qui concerne les médiums et ce que l’on dit d’eux par différents spécialistes.

L’auteur reconnait que : « (…)Woods et Betty Greene posèrent toutes les questions nécessaires pour chercher à connaitre comment était la vie dans l’au-delà et reçurent une foule de réponses. Mais les réponses furent vagues, intentionnellement ? Les voix se sont-elles restées dans l’impossibilité de décrire une existence hors du temps, dans un mode aux dimensions différentes, et cela dans un langage que nous pourrions comprendre sur terre ? Nul ne saurait le dire, mais les réponses furent rapidement précises.»

Ce que j’en ai retenu et comment je m’en suis servi.
C’est l’un des premiers livres de la bibliothèque de mon père qui m’est tombé sous la main. Il avait juste inséré une note dans le dernier chapitre nommé « la preuve finale » où l’auteur reprenait des témoignages de malades ayant vécu une EMI (Expérience de mort imminente).

Pour mon père, ce livre relatif au paranormal et au spiritualisme n’avait rien de scientifique et ne lui pas était utile dans son travail d’investigation scientifique.

Pour moi, l’auteur a effectué un travail sérieux et objectif dans ses investigations sur la véracité de témoignages captés et enregistrés des défunts. J’ai repris un bon nombre de ces témoignages simples et concrets pour créer ce monde imaginaire de l’au-delà dans mon roman et également de nombreux dialogues. Sans ce livre et la vraisemblance des témoignages de ces défunts, il m’aurait été difficile de créer un « au-delà » qui soit cohérent avec mon histoire.