Ce que le livre raconte
Mère de famille, femme de gendarme, Michèle Decker aurait mené m’existence ordinaire de n’importe quelle femme au foyer si ne s’était révélé à elle un don extraordinaire.
Le 12 avril 1984, alors qu’elle vient d’hériter de la maison où elle a passé son enfance, en Belgique, elle a la vision de son grand-père….décédé treize ans plus tôt.
Puis c’est un jeune soldat allemand, « prisonnier » dans sa cave depuis la Seconde Guerre mondiale, qui l’appelle au secours devant témoins. Désormais, il lui faudra vivre avec ces présences invisibles, toujours plus nombreuses, apprendre à les apaiser, à recevoir leurs messages, à transmettre les informations qu’elles lui envoient….
Dans une préface Didier Van Cauwelaert s’interroge : « Qui lui parle ?. Son inconscient, la mémoire collective, des « guides » immatériels, ses ancêtres ? je n’ai pas de réponse.
Mais l’authenticité, la portée et la nature inexplicable de certaines « données » qu’elle a reçues sont évidentes pour les scientifiques qui les ont étudiées ».
Dans ce livre, elle raconte avec une grande humanité sa vie ordinaire qui est bousculée par toutes les occasions où son don de médium « extraordinaire » est sollicité pour des consultations médiumniques, les « nettoyages » de maison hantées, le radioguidage des âmes errantes, les demandes de guérison lorsque la médecine avoue son impuissance, les données reçues par écriture automatique...
Elle donne également sa propre vision, analyse du monde de l’invisible selon sa propre compréhension.
Sa médiumnité, elle la décrit ainsi :« Ce dont, je suis profondément persuadé, c’est avoir reçu une sorte de fonction à occuper, une mission à accomplir, à laquelle je me consacre de toute la force de mon âme, au milieu de mes capacités.